Archives mensuelles de mars, 2014

Dans la lignée de quelques autres articles récents (ni poo et puis fashion et ecolo) voici un nouvel article mais sur la nourriture cette fois. Depuis que j’ai 16 ans (il y a fort fort longtemps!) je ne mange plus de viande du tout. Pas de hamburger, de steaks, de charcuterie, de poulet, non rien de tout ça. Et ça ne me manque pas.
En fait, je n’ai jamais aimé la viande, depuis toute petite, et mes parents ont fini par renoncer à m’en faire manger vers 16 ans. Depuis je vis très bien sans. Je mange tout de même des œufs, du poisson et des produits laitiers, il n’y a donc pas de carences en protéines.
Au départ, c’était plutôt par goût puisque je n’aime pas la viande, mais maintenant c’est aussi par conviction, j’avoue que les conditions d’élevage et le coût écologique d’élever des bêtes me semblent aberrants. Ceci est mon choix et je ne critique aucunement les gens qui font le choix de manger de la viande. Cependant j’ai souvent été moquée ou mise à l’écart à cause de mon choix qui n’est pas celui du plus grand nombre. Les différents scandales qui ont émaillé l’actualité des filières d’approvisionnement de la viande ces dernières années m’ont confortée dans mon choix.
Les ressources de la terre ne sont pas inépuisables, surtout quand on sait combien d’eau il faut pour fabriquer un kg de viande, contrairement à certaines céréales qui elles sont moins gourmandes en eau.dans la mesure du possible, j’essaie aussi d’acheter des légumes bio ET locaux.
Pour moi manger végétarien est certes un goût personnel, mais aussi un acte engagé!

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Je mange bio, j’achète des cosmétiques et des gels douches bio, J’habite une maison économique en énergie, mais le point noir de ma volonté de consommer responsable est certainement mon inclinaison pour la mode.
En effet, l’achat compulsif de vêtements ne me convient plus du tout et j’ai décidé de revoir un peu mon mode de consommation. Je suis lassée à la fois d’un mode de consommation compulsif, mais aussi non responsable. Les conditions dans lesquelles les vêtements sont produits sont aussi importantes pour moi à présent.
J’ai donc décidé de scruter attentivement la provenance des vêtements que j’achète. J’essaie de privilégier les vêtements venant d’Europe quand je le peux. Je ne peux pas le faire pour tous les vêtements ou chaussures, d’autant plus que les provenances sont rarement clairement indiquées sur les sites de vente. Je précise que j’achète mes vêtements principalement sur Internet.
L’autre axe sur lequel je travaille, c’est d’essayer d’acheter des vêtements d’occasion plutôt que des vêtements neufs, ce qui permet de recycler des vêtements et de leur donner une seconde vie sans surproduire. Je revends ou donne les vêtements que je ne porte plus, mais je ne les jette jamais, aussi bien pour des raisons éthiques qu’ecolo.
Enfin, le plus difficile pour moi, j’essaie de réduire la consommation pour consommer mieux et privilégier la qualité à la quantité. J’y trouve finalement plus de plaisir que d’acheter des vêtements de piètre qualité et fabriqués dans des conditions parfois doutables dans des chaînes bien connues.
Et vous, comment abordez vous le point de l’écologie dans votre façon de consommer la mode?

Alors vous je ne sais pas, mais moi au travail je suis très souvent hyper stressée. Les organisations matricielles sont vraiment complexes et les occasions de s’echarper joyeusement entre collègues ne manquent pas.
La plupart du temps les facteurs qui causent toutes ces tensions nous échappent. Elles sont liées principalement à l’organisation de la société dans laquelle on travaille. Si on ne prend pas le recul nécéssaire, on pense vraiment que tous les collègues s’acharnent à ramer dans le nos contraire du notre. Limite parano.
Et si en plus notre hiérarchie ne nous soutient pas ou peu puiqu’elle est dans la même situation que nous, les ingrédients du bien out sont réunis. La solitude, le stress, la devalorisation accumulés nous mènent tout droit dans le mur.
Je crois qu’il est important de prendre du recul sur ce qui est important pour nous et sur ce qui nous fait du bien.
Le sport est souvent un moyen de se défouler, mais il n’enraye pas la cause du problème. Il me permet de contrer les effets du stress et d’être un peu plus détendue, ce qui évite l’escalade du stress au travail !
Une réflexion sur le plus long terme et sur ce qu’on veut vraiment faire peut aussi permettre d faire bouger la situation. On peut vouloir changer de job dans la même société pour réduire son stress et faire quelque chose qui nous convient mieux. Mais on peut aussi vouloir changer dde société pour trouver une organisation moins stressante ou encore fonder sa propre société. Mais pour cette dernière solution, le stress sera sûrement très important.
J’oscille entre ces 2 solutions. Le sport pour réduire le stress sur le court terme et la réflexion sur mon avenir professionnel. Et vous ?

Un petit récapitulatif des tenues de la semaine! Et surtout on fête l’arrivée des ballerines Souris de Marc Jacobs et du sac bourse Lancaster! Big big crush! Qui a regardé ses pieds toute la semaine en réunion??