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Et voilà une nouvelle petite recette vegan qui va bien. Ce pain au muesli, je le fais depuis longtemps en version végétarienne avec du lait et du miel, mais la version végane fonctionne super bien. Au goût, je trouve qu’il se rapproche de la brioche. Super bon pour le petit déjeuner ou le brunch avec du beurre de cachuète en ce qui me concerne pour rajouter encore un peu de protéines (et surtout parce que je suis grave accro) mais il s’accorde bien avec de la confiture aussi. J’aime bien en prendre avant d’aller courir. C’est un peu un gateau sportif ou de l’effort. Enfin bref, il est multifonctions ! Les flocons d’avoine permettent de baisser un peu l’indice glycémique et de rester calé longtemps. Il apporte aussi des fibres et peut être une source de protéines au petit déjeuner. 

On peut également le faire avec une machine à pain sur programme pain. De mon,côté, je mets tout dans mon robot avec la pale à pâte et je laisse lever environ 1h30 avant de le façonner puis je laisse lever une deuxième fois environ 20 min. 

Les fruits secs et oléagineux peuvent être remplacés par d’autres produits de même nature, comme par exemple les cranberries par des abricots secs ou les noix par des noix de pécan ou des noisettes.


Ingrédients (pour 12 parts)

  • 320 g de farine
  • 1 sachet de levure de boulanger
  • 1 pincée de sel
  • 200 ml de lait végétal tiédi ( ici lait de soja ou d’amande)
  • 100 ml d’eau tiédie
  • 20 g de purée de noix de cajou
  • 60 g de flocons d’avoine
  • 5 g de baies de goji
  • 5 g d’amandes concassées
  • 6 cuillères à café de sucre de coco ou cassonade 
  • 5 g de cranberries 
  • 5 g de mulberries
  • 30 g de dattes dénoyautées et coupées en morceaux
  • 5 g de pistaches
  • 1 pincée de graines de lin
  • 5 g de Noix 

Instructions

  1. Mélanger tous les ingrédients secs dans le bol du robot. 
  2. Ajouter graduellement le lait végétal et l’eau. 
  3. Laisser lever environ 1h30 dans un saladier couvert d’un torchon.
  4. Façonner en un gros pain ou 12 petits.
  5. Laisser lever environ 20 min sur une plaque à four farinée ou recouverte d’un papier sulfurisé. 
  6. Faire cuire 30 min à 190°C (20 min si vous faites des petits pains).
  7. Laisser refroidir et dégustez ! 

Bon appétit ! 

Macros  par portion (à titre indicatif)

  • 157 Kcal / portion
  • Lipides : 2,7 g
  • Glucides : 24,3 g
  • Protéines : 5,2 g

Mes dernières lectures sont plutôt orientées philosophie de vie… Á mon âge avancé (!!) on commence à se dire qu’il serait temps de savoir ce qu’on veut et de remettre un peu d’ordre dans sa vie. Donc, je me documente de plus en plus sur les sujets qui m’intéressent : la recherche du bonheur, l’alimentation et la reconversion professionnelle. Ce sont des sujets qui me tiennent tous à cœur pour diverses raisons, et je pense qu’ils sont liés entre eux d’une certaine manière. 

En fait, j’ai enfin réussi à prendre du temps pour lire. Lire sur des sujets qui m’intéressent. Et rien que ça, c’est un progrès. J’ai envie de me documenter pour mettre en place des changements qui correspondent à mes aspirations. Donc voici les ouvrages que j’ai lu dernièrement.

  • Vegan – Marie Laforêt
  • Plaidoyer pour le bonheur – Matthieu Ricard
  • Maigrir sans régime – Jean-Philippe Zermati 
  • Je cherche un emploi, je change de métier – Marie Auberger – Marie Berchoud 
  • Les 4 Accords Toltèques – Don Miguel Ruiz

Ces livres m’ont amenée à réaliser quelques changements. Tout d’abord, j’ai décidé de réduire ma consommation d’aliments d’origine animale. En effet, je ne consomme plus de viande depuis mon adolescence et j’avais envie d’aller un peu plus loin. Pour l’instant, je ne mange donc plus qu’occasionnellement du poisson et un peu de produits laitiers. J’ai grandement réduit ma consommation d’œufs (déjà bio auparavant). Je réalise des muffins, cake, omelettes sans œufs, pareil pour les crèmes dessert. En plus d’avoir réduit ma consommation de produits d’origine animale, j’ai découvert de nouvelles saveurs. En effet, j’ai cuisiné avec du miso, de la pâte de Sésame, du beurre de Noix de cajou, du seitan. Compte tenu du faible apport en vitamine b12 de mon alimentation, je me supplémente pour éviter toute carence. 

J’ai aussi beaucoup réfléchi à mon rapport à la nourriture. En fait, le livre de Jean-Philipe Zermati m’a permis de réaliser que j’intellectualisais trop mes repas. Nombre de calories, quantité de lipides, protides, glucides, fibres, vitamines, j’aime savoir tout ce que j’ingère. Parfois au détriment du plaisir de manger. Et aussi dans le but de maintenir mon poids cible, qui ne correspond pas nécessairement à mon poids santé. Ni aux normes de la société. Donc petit à petit, j’essaie de lâcher prise et faire confiance à mon corps qui sait ce qui est bon pour moi et de commencer à m’autoréguler. Il me reste encore bien du chemin à faire. 

J’aspire également à plus de sérénité au quotidien. C’est pour cette raison que les ouvrages de Matthieu Ricard et Miguel Ruiz m’ont attirée. Je cherche à calmer le jeu de notre vie stressante, aussi bien professionnelle que personnelle. J’ai tendance à prendre les choses très à cœur et malheureusement cela peut se retourner contre moi. L’idée est de lâcher prise et trouver un bonheur intérieur qui ne dépend finalement que de moi. Ce que pensent les autres, ce que font les autres ne doit pas influer sur mon niveau de bonheur. Les tenants et les aboutissants de leurs actions n’ont absolument rien à voir avec moi. Il s’agit du résultat de leur cheminement et manière de percevoir le monde. Par ailleurs, l’altruisme est une valeur grandement sous-estimée, puisque vouloir le bien d’autrui est souvent source de bonheur pour soi-même. Cela est également vrai pour les animaux. J’ai donc décidé de m’engager un peu plus en faveur des animaux, d’une part en réduisant ma consommation de produits animaux, mais aussi en rejoignant une association qui vient au secours d’animaux   abandonnés. 

Enfin, je réfléchis également à changer d’orientation professionnelle. Aujourd’hui, je ne reconnais plus mon métier ni les conditions dans lesquelles il s’exerce. Je voudrais donc changer la donne en réfléchissant à ce que je sais faire, ce que je veux faire et comment y parvenir. Un petit bilan de compétences en somme. Pour l’instant, ce n’est que le début de cette réflexion, mais déjà un certain nombre de pistes se profile à l’horizon….

Dans le cadre de ma recherche de réduction de consommation de produits animaux, j’ai décidé notamment de réduire ma consommation d’œufs, comme j’ai pu le partager dans l’un ou l’autre de mes précédents articles. Du coup, j’ai réfléchi à un cake salé, mais sans œufs. J’ai effectué plusieurs tests et voilà le résultat! 

J’ai préparé des muffins salés, super pratiques pour emmener pour le déjeuner ou sur la route. J’ai rajouté une entrée avec un hoummos fait maison et quelques sticks de carottes. Miam !! Si ça vous dit, je vous donnerais la recette du hoummos. Donc il y a encore du fromage dans cette recette, mais je pense essayer avec un fromage végétal sous peu pour une version végane…

Ingrédients

  • 1 Poivron
  • 50 g d’huile d’olive
  • 7,5 cl de vin blanc sec (riesling par exemple)
  • 200 g de feta 
  • 6 cuillère à soupe de fécule de maïs (maïzena)
  • 100 g de farine de pois chiche
  • 150 g de farine de blé
  • 20 g de tomates séchées coupées en cube
  • 20 g d’olives noires dénoyautées et coupées en petits cubes
  • 20 g de pignons de pin
  • 100 g de yaourt de soja
  • 1 sachet de levure chimique
  • Herbes de Provence
  • Paprika

Instructions

  1. Mélanger tous les ingrédients secs, faire un puits.
  2. Ajouter l’huile et le vin blanc, mélanger délicatement avec le mélange de farines. Si besoin rajouter un peu d’eau. 
  3. Rajouter le poivron coupé en cubes, la feta en cubes ainsi que les olives, les tomates séchées et les pignons. Mélanger.
  4. Verser dans un ou plusieurs moules. Pour ma part, j’ai pu faire 12 muffins, mais on peut aussi le faire cuire dans des moules à cannelés pour l’apéritif. 
  5. Cuire 45 min à 190°C pour un cake classique, 25 min pour les muffins et 15 min environ pour des cannelés. 

Bon appétit ! 

Et voilà ce qui se passe quand la bobo attitude frappe… Tu tombes de ta chaise en réalisant la réalité de ce que tu utilises tous les jours.

J’ai décidé cette semaine de vérifier les compositions des produits de ma « routine » beauté. Routine déjà plutôt allégée, mais quand même.  En général, je mets une crème de jour, un contour des yeux, et je me démaquille soit avec une eau micellaire, soit avec un gel moussant.

En général, je me maquille les yeux, peut-être une fois par mois avec un mascara waterproof et un crayon à sourcil (tous les deux de la même marque de luxe). Donc voilà, une routine plutôt light côté visage.

Pour le corps, j’utilise en général un gel douche bio ou un savon bio. et pour les cheveux un shampoing bio.

Et enfin, pour le parfum, j’utilise quotidiennement une eau de parfum d’une marque de luxe.

En gros, je pensais avoir tout bon. Mais voilà, ça c’était avant…

Grosso modo, dans tous les produits que j’utilise, il y a des allergènes (admettons, jusqu’à présent, pas de plaques rouges ni rien, donc bon…), mais surtout il y a les fameux perturbateurs endocriniens. Donc en prenant la liste des substances à éviter de l’article de Que Choisir (lien plus bas), je me suis rendue compte que les substances suivantes étaient présentes dans mes produits :

  • phenoxyethanol (potentiellement toxique pour les foie) : gel moussant, lotion micellaire, mascara, et crème de jour
  • Ammonium Lauryl Sulfate (irritant): gel douche et shampoing (pourtant tous les deux bio)
  • BHT (perturbateur endocrinien) : crème de jour
  • Ethylhexyl Methoxycinnamate (perturbateur endocrinien) : parfum et crème de jour

Je précise que mes produits ne sont pas du tout des produits premier prix, mais des produits de marques de luxe, parapharmacie, et bio. Comme quoi, ça ne veut absolument rien dire. Il faut lire les étiquettes et regarder la liste des ingrédients. Donc désormais, je me promène au minimum avec le pense bête Que Choisir et si possible je screene tout sur Internet via les outils ci-dessous.

Maintenant que je sais tout ça, je vais changer ma routine pour des produits plus sains. Dans le cadre de cette démarche, j’utilise maintenant des sites comme ceux de Zenziscope par exemple ou les conseils de groupes Facebook comme la Communauté no poo ou le très bon article de Que Choisir : Que Choisir .

Je vous encourage vivement à faire de même, c’est super éducatif. De mon côté, je suis en train de me tourner vers des marques qui me paraissent plus saines comme Weleda par exemple et je fais aussi une partie de mes cosmétiques moi même. J’ai d’ailleurs pioché quelques idées sur ce super site : Consommons Sainement . Et pas que pour les cosmétiques d’ailleurs. J’ai testé le déodorant à base d’huile de coco, et je pourrais vous poster une recette bientôt d’ailleurs et vous faire un retour.

img_3699Voici une de mes recettes préférées et surtout hyper facile et rapide. J’utilise uniquement des ingrédients bio. C’est un véritable régal dès le matin ou au goûter, et surtout, c’est hyper sain puisque je sais ce que j’ai mis dedans. En général, j’en fait le double comme ça, ça dure la semaine.

Ingrédients (pour 4 portions)

  • 165 g de flocons d’avoine (baby si possible)
  • 2 bonnes cuillères à soupe de beurre de cacahuète
  • 10 g de sirop d’agave
  • 12 g de sucre (j’ai mis du sucre de coco, miam)

Instructions

  1. Préchauffer le four à 165°C.
  2. Mettre les flocons d’avoine dans un saladier.
  3. Faire fondre le beurre de cacahuètes et le miel ensemble à feu doux dans une petite casserole (ou au micro onde en mode décongélation par tranche de 30 s).
  4. Mélanger les flocons d’avoine et le sucre avec le mélange beurre de cacahuètes / miel.
  5. Etaler le tout sur une plaque à four ou dans un grand plat.
  6. Mettre au four pendant 20 à 25 min environ. Bien surveiller car le granola brûle vite. Rallonger la cuisson par tranches de 5 minutes si nécessaire.
  7. Laisser refroidir puis conserver dans un bocal ou une boîte en métal hermétique.
  8. Dégustez avec du yaourt de soja, lait végétal, des fruits frais ou secs et des pépites de chocolat noir 🙂

Bon appétit !! 

Macros à titre indicatif

  • 211 Kcal par portion
  • 5,2 g lipides
  • 33,7 g Glucides
  • 7,6 g Protéines

 

 

Dans la lignée de quelques autres articles récents (ni poo et puis fashion et ecolo) voici un nouvel article mais sur la nourriture cette fois. Depuis que j’ai 16 ans (il y a fort fort longtemps!) je ne mange plus de viande du tout. Pas de hamburger, de steaks, de charcuterie, de poulet, non rien de tout ça. Et ça ne me manque pas.
En fait, je n’ai jamais aimé la viande, depuis toute petite, et mes parents ont fini par renoncer à m’en faire manger vers 16 ans. Depuis je vis très bien sans. Je mange tout de même des œufs, du poisson et des produits laitiers, il n’y a donc pas de carences en protéines.
Au départ, c’était plutôt par goût puisque je n’aime pas la viande, mais maintenant c’est aussi par conviction, j’avoue que les conditions d’élevage et le coût écologique d’élever des bêtes me semblent aberrants. Ceci est mon choix et je ne critique aucunement les gens qui font le choix de manger de la viande. Cependant j’ai souvent été moquée ou mise à l’écart à cause de mon choix qui n’est pas celui du plus grand nombre. Les différents scandales qui ont émaillé l’actualité des filières d’approvisionnement de la viande ces dernières années m’ont confortée dans mon choix.
Les ressources de la terre ne sont pas inépuisables, surtout quand on sait combien d’eau il faut pour fabriquer un kg de viande, contrairement à certaines céréales qui elles sont moins gourmandes en eau.dans la mesure du possible, j’essaie aussi d’acheter des légumes bio ET locaux.
Pour moi manger végétarien est certes un goût personnel, mais aussi un acte engagé!

Sent from my iPad

Je mange bio, j’achète des cosmétiques et des gels douches bio, J’habite une maison économique en énergie, mais le point noir de ma volonté de consommer responsable est certainement mon inclinaison pour la mode.
En effet, l’achat compulsif de vêtements ne me convient plus du tout et j’ai décidé de revoir un peu mon mode de consommation. Je suis lassée à la fois d’un mode de consommation compulsif, mais aussi non responsable. Les conditions dans lesquelles les vêtements sont produits sont aussi importantes pour moi à présent.
J’ai donc décidé de scruter attentivement la provenance des vêtements que j’achète. J’essaie de privilégier les vêtements venant d’Europe quand je le peux. Je ne peux pas le faire pour tous les vêtements ou chaussures, d’autant plus que les provenances sont rarement clairement indiquées sur les sites de vente. Je précise que j’achète mes vêtements principalement sur Internet.
L’autre axe sur lequel je travaille, c’est d’essayer d’acheter des vêtements d’occasion plutôt que des vêtements neufs, ce qui permet de recycler des vêtements et de leur donner une seconde vie sans surproduire. Je revends ou donne les vêtements que je ne porte plus, mais je ne les jette jamais, aussi bien pour des raisons éthiques qu’ecolo.
Enfin, le plus difficile pour moi, j’essaie de réduire la consommation pour consommer mieux et privilégier la qualité à la quantité. J’y trouve finalement plus de plaisir que d’acheter des vêtements de piètre qualité et fabriqués dans des conditions parfois doutables dans des chaînes bien connues.
Et vous, comment abordez vous le point de l’écologie dans votre façon de consommer la mode?

Alors vous je ne sais pas, mais moi au travail je suis très souvent hyper stressée. Les organisations matricielles sont vraiment complexes et les occasions de s’echarper joyeusement entre collègues ne manquent pas.
La plupart du temps les facteurs qui causent toutes ces tensions nous échappent. Elles sont liées principalement à l’organisation de la société dans laquelle on travaille. Si on ne prend pas le recul nécéssaire, on pense vraiment que tous les collègues s’acharnent à ramer dans le nos contraire du notre. Limite parano.
Et si en plus notre hiérarchie ne nous soutient pas ou peu puiqu’elle est dans la même situation que nous, les ingrédients du bien out sont réunis. La solitude, le stress, la devalorisation accumulés nous mènent tout droit dans le mur.
Je crois qu’il est important de prendre du recul sur ce qui est important pour nous et sur ce qui nous fait du bien.
Le sport est souvent un moyen de se défouler, mais il n’enraye pas la cause du problème. Il me permet de contrer les effets du stress et d’être un peu plus détendue, ce qui évite l’escalade du stress au travail !
Une réflexion sur le plus long terme et sur ce qu’on veut vraiment faire peut aussi permettre d faire bouger la situation. On peut vouloir changer de job dans la même société pour réduire son stress et faire quelque chose qui nous convient mieux. Mais on peut aussi vouloir changer dde société pour trouver une organisation moins stressante ou encore fonder sa propre société. Mais pour cette dernière solution, le stress sera sûrement très important.
J’oscille entre ces 2 solutions. Le sport pour réduire le stress sur le court terme et la réflexion sur mon avenir professionnel. Et vous ?